LECTURES PROPOSÉES


Abbayes cisterciennes

Illustration Lecture Abbaye de Flaran

" L' Abbaye de Flaran en Armagnac "

Jules Laurière

Description et histoire avec sept planches par Pierre Benouville, architecte du Gouvernement, et Philippe Lauzun, membre de la Société historique de Gascogne, Bulletin Monumental, 1890, 56, pp. 201-204.

L'abbaye de Flaran en Armagnac

" L'abbaye de Flaran en Armagnac "

Pierre Benouville  et  Philippe Lauzun

Description et histoire,
Ed. des Régionalismes, Collection : Arremoludas, pp177, 2014. (Réédition)

Illustration Lecture Abbaye de Flaran

" Vivre au Moyen Âge dans une abbaye cistercienne : L'abbaye de Flaran "

Marielle Agostini

Service Médiation culturelle Conservation départementale du Patrimoine et des Musées du Gers / Abbaye de Flaran 32310 Valence-sur-Baïse, Dossier pédagogique N°1 – 2018 www.abbayedeflaran.fr
www.gers.fr www.musee-occitanie.fr

Abbaye de Flaran

" Les Pierres Sauvages "

Fernand  Pouillon

pp. 240, Editions du Seuil, 1964.
Ce roman se présente comme le journal du maître d'œuvre qui, au douzième siècle, édifia en Provence L'abbaye du Thoronet, exemple d'architecture cistercienne. Jour après jour, nous voyons ce moine constructeur aux prises avec la faiblesse des hommes et l'inertie des choses, harcelé par les éléments contraires et, plus encore, par ses propres contradictions. La vie d'un chantier médiéval, les problèmes
techniques, financiers ou doctrinaux que posait sa bonne marche…

Livre Abbayes citériennes

" Les Abbayes Cisterciennes "

Jean-François  Leroux-Dhuys, Henri Gaud

pp.398 pages, Editions Place
des Victoires, 1999.
L’ouvrage retrace chronologiquement l’aventure cistercienne qui s’est déroulée aussi bien en France (Fontfroide, Fontenay, Senanque, Pontigny, Royaumont) qu’en Allemagne (Bebenausen, Maulbronn), en République Tchèque (Osek, Sedlec, Tisnov, Zdar) ou au Portugal (Alcobaca, Portalegre), etc. Ce texte est illustré par les somptueuses photographies d’Henri Gaud qui a consacré plus de cinq années à parcourir l’Europe pour immortaliser les sites prestigieux consacrés à l’art cistercien. Il a su capter la rigueur poétique de ces lieux, leur austérité séduisante ; il rend magnifiquement compte des lignes harmonieuses et majestueuses des principales abbayes cisterciennes européennes.

" L'abcdaire des cisterciens et du monde de Cîteaux "

Jean-François Bazin

pp.119, Editions Flammarion,
1999.
Cet ABCdaire aide à entrer dans ce monde cistercien qui passe par la pierre et la disposition des lieux, le livre et l'outil, la maîtrise de la parole, les heures de la prière et surtout... une incessante conversion du cœur à la lumière. Aucun livre, si bien fait soit-il, ne dira jamais le secret de la vie monastique. Mais ce n'est pas une raison suffisante pour n'en point parler. Moines et moniales sont heureux quand d'autres qu'eux-mêmes en courent le risque.

"L'Ordre cistercien"

Michel Niaussat

pp.31, Editions Ouest-France, 2001
L'ordre cistercien, le mot, n'est pas toujours facile à prononcer. Il recouvre pourtant une réalité qui perdure depuis le XIIe siècle, depuis l'année 1908 très exactement. Fait extraordinaire, au début du IIIe millénaire, des hommes et des femmes, moines et moniales, forment toujours, à travers le monde entier, la famille cistercienne, se réclamant de l'esprit de ces conquérants de l'invisible qui, il y a neuf siècles, ont couvert l'Europe naissante de monastères, lieux de prière où le ciel rejoint la terre. 
Le phénomène cistercien, par l'ampleur et l'absolu de sa démarche, a été à l'origine d'une des plus grandes aventures humaines et spirituelles de tous les siècles dans cette recherche de l'essentiel, entraînant du XIIe au XXIe siècle des milliers et des milliers de chercheurs de Dieu sur les chemins tracés par Robert, Albéric et Etienne, les fondateurs, et ensuite par tant d'autres mystiques qui ont pu, à l'instar de Bernard de Clairvaux, s'écrier, eux aussi, "La mesure d'aimer Dieu, c'est de l'aimer sans mesure". 

"Abbaye cistercienne en France"

Clarisse Reanaud

Abbaye cistercienne en France, pp.128, Édition Gaud, 2002
Quatrième de couverture : Après une première édition consacrée aux abbayes cisterciennes d'hommes, voici une seconde version revue et augmentée de 32 pages pour inclure les monastères de femmes. La nouvelle mise en page offre des photographies inédites réalisées par Henri Gaud, de nouveaux rapprochements architecturaux et un inventaire élargi du décor cistercien. Le propos, accessible à tous, démontre une fois de plus l'extrême diversité de l'architecture cistercienne.

"Le Rêve cistercien"

Léon Pressouyre 

pp.144, Éditions Gallimard,1990. 
Les cisterciens voulaient mener une vie monastique parfaite, sans compromission avec le siècle. Leur aventure spirituelle, commencée en 1098, est toujours actuelle, et concerne aujourd'hui quelque sept mille moines et moniales. Mais le rêve cistercien va bien au-delà d'une quête confinée aux monastères où vivent des chrétiens épris d'absolu. Il a profondément modifié les relations de l'homme à la nature, à la société, à l'art. Dès le XIIe siècle, la volonté de réforme et les aspirations mystiques de solitaires volontairement coupés du monde ont déterminé des métamorphoses qui nous concernent tous. 

"Origines cisterciennes"

Alessandro Azzimonti

Origines cisterciennes, Association pour le rayonnement de la culture cistercienne (Éditeur scientifique), pp.190, Éditions Le Cerf, 1998.
Aux commencements de l'ordre de Cîteaux, l'intuition spirituelle qui fut celle de Robert de Molesme, d'Étienne Harding, puis de Bernard de Clairvaux s'est traduite dans des textes narratifs, législatifs et liturgiques. Les plus célèbres sont le Petit Exorde de Cîteaux et la Charte de Charité. Ces textes, bien loin d'être des règlements austères, sont pleins de la saveur des commencements, ils sont l'expression de la ferveur et de la générosité de ces hommes assoiffés de Dieu. La plus grande partie des pages qui sont ici proposées au public étaient jusqu'à présent accessibles uniquement dans des éditions savantes. 

"Les Abbayes Cisterciennes"

Alain Erlande-Branderburg

pp.64, Editions Jean-Paul Gisserot, 2008.
Les Abbayes Cisterciennes. Un texte clair et synthétique. Un mémo précieux pour aider à comprendre l'histoire d'un des plus grands ordres de la Chrétienté. Pour garder en mémoire l'essentiel des connaissances.

"Les Cisterciens"

Nicolas d'Andoque

Les Cisterciens, pp.400,  Éditions In Situ, 2003.
L'aventure cistercienne débute en 1098, lorsque Robert de Molesme, Amlbéric et Étienne Harding, animés par une volonté de retour à la Règle de Saint Benoît, fondent en un lieu appelé Cistels, leur Novum Manasterium. Avec Bernard de Clairevaux, l'Ordre de Cîteaux multiplie ses fondations.
Appréciés des pouvoirs religieux et politiques, grands organisateurs, ceux que l'on a appelé les moines blancs façonnent une théologie mystique originale, tout en ouvrant de nouvelles voies à l'art et à l'architecture. Aujourd'hui encore, les fils spirituels des fondateurs de l'Ordre, membres de la grande famille cistercienne, continuent à en écrire l'histoire. 

"Saint Bernard : l’art cistercien"

Goerges Duby

Georges Duby : Saint Bernard : l’art cistercien, pp.186, Éditions Flammarion, 2010 
Saint Bernard n'a pas fondé l'ordre cistercien, mais il a fait son succès. Pendant les deux derniers tiers du XIIe siècle, à travers l'Europe entière, va s'édifier le grand bâtiment, le vaste chantier issu de Cîteaux. Et saint Bernard en est bien le patron, le maître d'ouvrage dont la parole a gouverné, comme le reste, l'art. Parce que cet art est inséparable d'une morale, qu'il incarnait. Mais si la parole de saint Bernard eut cette force de persuasion, si la congrégation qu'il animait put édifier ce qui voulait être la représentation visible d'une éthique et si cet édifice exerça tant d'influence sur la culture européenne, c'est que le siècle attendait cette parole, cette exigence morale, de rigueur, de renoncement et de dépassement. Car si la manière cistercienne de construire fut suscitée par l'enseignement de saint Bernard, elle le fut aussi par tout l'élan du XIIe siècle. 

"L'art cistercien"

Paul Veyriras M.Anselme Dimier Jean Porcher

L'art cistercien - France, pp.374, Éditions Zodiaque, Abbaye de la Pierre-qui-Vire, 1962, 1982 (3iem ed), collection La nuit des Temps. Ce livre à la netteté et la clarté qui conviennent au sujet dont il traite. Il est également, ce qui explique ses qualités, l'œuvre d'hommes qui, par leur vocation, leur vie et leurs travaux, sont mieux à même que quiconque de dégager l'esprit qui imprègne l'art monastique en général, et plus particulièrement l'aspect exceptionnel que revêt l'art cistercien. Il s'agit de dom Angelico Surchamp, religieux bénédictin, et, pour la majeure partie de l'ouvrage, du r.p. Marie-Anselme Dimier, religieux cistercien, auteur de nombreux et remarquables travaux sur l'histoire, l'expansion et l'architecture de l'Ordre auquel il appartient. Les dernières pages du livre, consacrées aux manuscrits, ont été demandées à M. Jean Porcher, éminents spécialistes en la matière. Certes, le sujet n'est pas neuf. Après les beaux travaux du si regretté Marcel Aubert, on a peu de chances d'apporter de grandes nouveautés ; mais la formule adoptée par l'éminent archéologue dans son ouvrage, fondamental, sur l'architecture cistercienne en France aboutissait nécessairement à un morcellement minutieux des édifices analysés dans leurs multiples caractères.

"L'art cistercien hors de France"

Anselme Dimier

L'art cistercien hors de France, pp.326, Édition Zodiaque, Abbaye de la Pierre-qui-Vire, 1971, collection La nuit des Temps 
De toutes les architectures monastiques, celle des Cisterciens est incontestablement aujourd'hui la mieux connue, notamment grâce aux travaux du P. Anselme Dimier à qui l'on doit en particulier un monumental recueil de plans d'églises cisterciennes paru en 1949 et complété en 1967 par un supplément d'une égale importance. Cet auteur avait publié en 1962, aux Éditions Zodiaque, un livre sur l'Art cistercien en France. On souhaitait qu'un volume comparable fût consacré à cet art hors de France. Qu'on ne s'attende pas à trouver une somme de l'expansionnisme architectural de cet ordre qui, avec une vigueur sans égale, étendit son empire sur toute l'Europe et jusque dans le Proche-Orient.
L'abondance des abbayes eût conduit à de simples énumérations ou à de trop succinctes notices. Il n'était pas question non plus de reprendre les grands thèmes, déjà si bien traités par l'auteur, sur l'esprit de l'ordre et la façon dont les programmes monumentaux s'y soumirent, non plus que de mettre en valeur les évolutions enregistrées depuis les premiers temps de l'austérité. Pour l'Espagne, une place importante a été donnée à l'abbaye de Gradefes, malgré tout secondaire et difficilement accessible. Le livre traite d'une façon détaillée de dix abbayes choisies dans six pays différents. Nous trouvons là les grandes « vedettes » de l'architecture cistercienne : Fountains et Buildwas, en Angleterre ; Pöblet et Santés Creus, en Espagne ; Fossanova et Casamari en Italie ; Bonmont, en Suisse ; Alcobaça, au Portugal, et, pour l'Allemagne, Eberbach, dont l'admirable église est un des plus purs chefs-d'œuvre du XIIe siècle et l'un des sommets de l'art cistercien dans l'expression de l'austérité et dans une recherche des proportions qui atteint à la perfection.  Le volume donne de substantielles notices sur quarante autres abbayes, réparties sur un plus large registre territorial, où nous voyons figurer notamment la Scandinavie (la danoise Sorö, la norvégienne Hovedö), la Suède (Alvastra, Roma et Warnhem), la Hongrie (Belapatfalva), la Pologne (Sulejow et Wachock), le Liban avec l'émouvante abbaye de Belmont. On s'attarde volontiers aux notices consacrées à trois abbayes en Estonie : Falkenau, abbaye combattante en pays barbare, avec sa grande enceinte rectangulaire entourée d'un fossé ; Dünamünde et Padise, également abbayes-forteresses. Elles nous montrent un aspect de l'action des Cisterciens toute proche de celle des Chevaliers teutoniques.

Articles et comptes rendus divers autour de l’Abbaye de Flaran

 

  • Henri Pradalier   Michèle Pradalier-Schlumberger, L’art cistercien dans le Midi
    toulousain [article], Cahiers de Fanjeaux, 1986, 21, pp. 313-370
  • Barthélémy Dominique, L'économie cistercienne. Géographie. Mutations du Moyen Age aux temps modernes (Centre culturel de l'abbaye de Flaran : Troisièmes journées internationales d'histoire, 16-18 septembre 1981). Auch, 1983, 226 p. [compte-rendu]  Bulletin Monumental / Année 1984 / 142-
    2 / pp. 209-210.
  • Jacques Lapart, Valence sur Baïse - Villa gallo-romaine et grange cistercienne sur le site du
    Mian [article], Archéologie du Midi Médiéval, 1985, 3, pp. 176-179
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